Parole de bénévole
20 mars 2023
Il s’appelle Arthur, il est venu rejoindre Un Toit Pour Tous en 2022, comme adhérent, et a déjà pris des contacts pour s’engager davantage au sein des équipes de bénévoles.
C’est à l’Espace de vie étudiante du domaine universitaire, au pied du bâtiment de l’IMAG (Informatique et mathématiques appliquées de Grenoble) où il mène ses recherches, que nous avons rencontré Arthur.
Comment êtes vous venu vers Un Toit Pour Tous ?
C’est difficile de répondre à cette question de manière précise car j’ai été sensibilisé depuis longtemps à la question du mal-logement. J’ai effectué mon service civil, comme objecteur de conscience, à Oasis38, il y a une trentaine d’années. Je me suis occupé des questions de logement pour les personnes accueillies, en particulier la gestion, la sous-location. Depuis, je suis resté sensible à cette question du logement social en suivant l’actualité sur ce sujet. Du coup, Un Toit Pour Tous est devenu un nom familier qui m’arrivait par différents canaux et il suffisait qu’une occasion se présente pour que j’entre en contact.
Quelle a été cette occasion ?
Tout simplement le fait que mon fils a quitté la maison pour aller faire ses études ailleurs, me laissant ainsi du temps disponible pour m’impliquer dans un domaine qui m’intéressait et que je trouvais socialement important.
Quels ont été vos premiers contacts avec Un Toit Pour Tous ?
Par le site web j’ai pris contact avec la chargée de communication qui m’a reçu et m’a présenté l’association. J’ai assisté à l’assemblée générale fin juin 2022 et j’ai participé à la journée de rencontre adhérents-bénévoles du mois d’octobre de la même année.
À Un Toit Pour Tous vous êtes adhérent et bénévole ; avec quel(s) groupe(s) avez-vous pris contact ?
Les groupes DALO/DAHO et Bénévoles-bricoleurs.
Comment se passe votre intégration dans ces deux groupes ?
J’ai assisté à la réunion de rentrée du groupe DALO/DAHO au cours de laquelle l’actualité du groupe et les informations générales ont été présentées. J’étais le seul “nouveau”; je n’ai donc pas eu de formation au travail spécifique du bénévole à proprement parler à ce moment-là. En ce qui concerne la loi DALO et l’existence de la commission de médiation, j’étais déjà au courant. J’ai aussi pris contact avec le groupe des bénévoles-bricoleurs.
Mais mon insertion effective dans toutes les activités « au quotidien » de ces deux groupes n’est pas encore évidente pour moi pour le moment.
Pouvez-vous nous préciser pourquoi ?
Tout d’abord, un problème d’emploi du temps. Encore en activité professionnelle, je ne peux pas participer aux permanences DALO/DAHO : les « croisements de calendrier » sont compliqués pour prendre des rendez-vous pour de l’aide auprès des familles.
Ensuite selon moi, dans ces deux activités, il faut commencer par un accompagnement. D’après les échos recueillis, autant dans une activité que dans l’autre, il est nécessaire d’avoir acquis une expérience avant de pouvoir se “lancer” seul ; déjà, moi-même, avant même de l’entendre, j’en ressentais le besoin. Dans le cas du DALO, il s’agit d’avoir les moyens d’aider advantage à remplir un questionnaire, dans le cas de l’aide au bricolage, il s’agit de savoir comment “pratiquer” la rencontre.
Qu’est-ce qui vous fait poursuivre votre présence à Un Toit Pour Tous ?
L’envie et le plaisir de participer à une mission sociale et “politique” (au sens noble du terme) fondamentale à mes yeux. Avant de contacter Un Toit Pour Tous j’ai fait une première expérience avec le groupe de bénévoles qui s’occupe de l’accueil à l’Abri sous la Dent. Le rôle de ces bénévoles est fondamental : “ils épongent les dégâts”. Mon propre tempérament m’oriente davantage vers la mission que remplit Un Toit Pour Tous et je m’y sens plus à l’aise.
Affaire à suivre, donc ?
Oui !
C’est à l’Espace de vie étudiante du domaine universitaire, au pied du bâtiment de l’IMAG (Informatique et mathématiques appliquées de Grenoble) où il mène ses recherches, que nous avons rencontré Arthur.
Comment êtes vous venu vers Un Toit Pour Tous ?
C’est difficile de répondre à cette question de manière précise car j’ai été sensibilisé depuis longtemps à la question du mal-logement. J’ai effectué mon service civil, comme objecteur de conscience, à Oasis38, il y a une trentaine d’années. Je me suis occupé des questions de logement pour les personnes accueillies, en particulier la gestion, la sous-location. Depuis, je suis resté sensible à cette question du logement social en suivant l’actualité sur ce sujet. Du coup, Un Toit Pour Tous est devenu un nom familier qui m’arrivait par différents canaux et il suffisait qu’une occasion se présente pour que j’entre en contact.
Quelle a été cette occasion ?
Tout simplement le fait que mon fils a quitté la maison pour aller faire ses études ailleurs, me laissant ainsi du temps disponible pour m’impliquer dans un domaine qui m’intéressait et que je trouvais socialement important.
Quels ont été vos premiers contacts avec Un Toit Pour Tous ?
Par le site web j’ai pris contact avec la chargée de communication qui m’a reçu et m’a présenté l’association. J’ai assisté à l’assemblée générale fin juin 2022 et j’ai participé à la journée de rencontre adhérents-bénévoles du mois d’octobre de la même année.
À Un Toit Pour Tous vous êtes adhérent et bénévole ; avec quel(s) groupe(s) avez-vous pris contact ?
Les groupes DALO/DAHO et Bénévoles-bricoleurs.
Comment se passe votre intégration dans ces deux groupes ?
J’ai assisté à la réunion de rentrée du groupe DALO/DAHO au cours de laquelle l’actualité du groupe et les informations générales ont été présentées. J’étais le seul “nouveau”; je n’ai donc pas eu de formation au travail spécifique du bénévole à proprement parler à ce moment-là. En ce qui concerne la loi DALO et l’existence de la commission de médiation, j’étais déjà au courant. J’ai aussi pris contact avec le groupe des bénévoles-bricoleurs.
Mais mon insertion effective dans toutes les activités « au quotidien » de ces deux groupes n’est pas encore évidente pour moi pour le moment.
Pouvez-vous nous préciser pourquoi ?
Tout d’abord, un problème d’emploi du temps. Encore en activité professionnelle, je ne peux pas participer aux permanences DALO/DAHO : les « croisements de calendrier » sont compliqués pour prendre des rendez-vous pour de l’aide auprès des familles.
Ensuite selon moi, dans ces deux activités, il faut commencer par un accompagnement. D’après les échos recueillis, autant dans une activité que dans l’autre, il est nécessaire d’avoir acquis une expérience avant de pouvoir se “lancer” seul ; déjà, moi-même, avant même de l’entendre, j’en ressentais le besoin. Dans le cas du DALO, il s’agit d’avoir les moyens d’aider advantage à remplir un questionnaire, dans le cas de l’aide au bricolage, il s’agit de savoir comment “pratiquer” la rencontre.
Qu’est-ce qui vous fait poursuivre votre présence à Un Toit Pour Tous ?
L’envie et le plaisir de participer à une mission sociale et “politique” (au sens noble du terme) fondamentale à mes yeux. Avant de contacter Un Toit Pour Tous j’ai fait une première expérience avec le groupe de bénévoles qui s’occupe de l’accueil à l’Abri sous la Dent. Le rôle de ces bénévoles est fondamental : “ils épongent les dégâts”. Mon propre tempérament m’oriente davantage vers la mission que remplit Un Toit Pour Tous et je m’y sens plus à l’aise.
Affaire à suivre, donc ?
Oui !