Qu’est-ce qui vous a conduit vers Un Toit Pour Tous ?
J’avais la volonté de devenir propriétaire solidaire depuis une quinzaine d’années parce que, au sein de notre résidence principale, nous faisons déjà de l’habitat partagé et solidaire.
Je suis très sensible à l’idée d’un marché immobilier qui se démarque d’une lucrativité trop forte. Il ne faut pas oublier que dans l’habitat, il y a aussi la notion d’habiter, qu’il y a des gens dans le logement.
Qu’est-ce qui vous a séduit dans le dispositif ?
Ce qui m’a séduit, c’est l’agence immobilière à vocation sociale.
Ce sont des valeurs, des principes auxquels j‘adhère et avec lesquels je me sens bien. C’est aussi tout l’accompagnement réalisé par l’agence, au contraire de ce que font de nombreuses autres agences immobilières.
Comment avez-vous été accompagné par Un Toit Pour Tous ?
J‘ai été accompagné par Anne (la chargée de captation) qui était très présente. Elle était toujours disponible pour répondre à mes questions.
Quelles sont les garanties que l’on vous a apportées ?
Je crois qu’on n’a pas eu besoin de m’apporter des garanties parce j’étais un propriétaire convaincu et sensible au sujet.
Quelles ont été vos motivations personnelles pour devenir propriétaire solidaire ?
J’en avais assez d’entendre le montant des loyers proposés sur Grenoble.
J’avais envie d’être un tout petit peu en dessous, mais sans perdre d’argent pour autant. Mon modèle économique était à l’équilibre.
Y a-t-il eu des défis auxquels vous ne vous attendiez pas, et comment les avez-vous surmontés ?
Pas pour l’instant. Mais, je viens de recevoir la convocation à l’assemblée générale de mon logement. J’ai envie d’y aller car il y a de nombreux copropriétaires avec qui j’ai des relations d’amitié. J’ai envie de leur dire que le locataire actuellement chez moi est de fait dans un logement social, que c’est porté par Un Toit Pour Tous, et que c’est génial. C’est peut-être un défi ça.